Cie E2dTdi
MOUKAM FONKAM
 

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"ce qui ne ce raconte pas)". est une partition de l'œuvre à venir"Le Génocide du Sanglier"

Être sans réaction devant une situation.

 

L’espace, l’aisance, l’endurance, la vitalité du mouvement, l'animal etla fragilité du corps.
Yômnyé  questionne son espace, son corps, la lumière, le temps la difficulté, la douleur, la peur, le doute, comme une ombre.

Le corps ici se voile et ère dans la pénombre pour évoquer ce qui se voit.

L’espace, le corps, le temps de reflex, la difficulté, la peur, le doute, l’ombre, sont les mots sur lesquels s’attaquent le chorégraphe pour aller chercher au-delà de la vitalité et l’expression de ce que nous pouvons donner à voir. Cela peut être une ombre, une évidence, un jeu, une devinette.. 

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Le Souffle: « Mon histoire fait partir de ton histoire » Tout commence là !

A travers une fissure au milieu de cette multitude de temps, hanté par les cliquetis des aiguilles.

 

Un être vivant reprend sa causerie exactement à l’endroit où il l’avait arrêté un peu plus tôt. Hier, avant-hier, ce matin qu’importe.

 

Le jeu de l’endurance qui l’anime est une clé pour son énigme. Ni l’ivresse ni l'habitude des chahuts ne fait reculer son corps dans l’ombre.

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